One of our
party, frivolously disposed, asked a girl (through an interpreter) if she
would marry him and go to his country. The reply, 'I do not know you,
sir,' was all that propriety could have demanded in the best society, and
worthy of a pupil 'finished' at Miss Pinkerton's celebrated
establishment.... Judging from our experience, no idea of hospitalities of
the kind [Marco's experience] was in the people's minds."
XLV., p. 45. Speaking of the people of Tibet, Polo says: "They are very
poorly clad, for their clothes are only of the skins of beasts, and of
canvas, and of buckram."
Add to the note, I., p. 48, n. 5: -
"Au XIV'e siecle, le bougran [buckram] etait une espece de tissu de lin: le
meilleur se fabriquait en Armenie et dans le royaume de Melibar, s'il faut
s'en rapporter a Marco Polo, qui nous apprend que les habitants du Thibet,
qu'il signale comme pauvrement vetus, l'etaient de canevas et de bougran,
et que cette derniere etoffe se fabriquait aussi dans la province
d'Abasce. Il en venait egalement de l'ile de Chypre. Sorti des
manufactures d'Espagne ou importe dans le royaume, a partir de 1442, date
d'une ordonnance royale publiee par le P. Saez, le bougran le plus fin
payait soixante-dix maravedis de droits, sans distinction de couleur"
(FRANCISQUE-MICHEL, Recherches sur le commerce, la fabrication et l'usage
des etoffes de soie, d'or et d'argent.... II., 1854, pp.