Ecole franc. Ext. Orient, IV., July-Sept.,
1904, p. 29: "Cette note de M. Cordier n'est pas exacte. Sous les Song,
puis sous les Mongols jusqu'en 1277, Si-ngan fou fut appele King-tchao
fou. Le vocabulaire houei-houei ne transcrit pas 'King-tchao du persan
kin-tchang,' mais, comme les Persans appelaient alors Si-ngan fou
Kindjanfou (le Kenjanfu de Marco Polo), cette forme persane est a son
tour transcrite phonetiquement en chinois Kin-tchang fou, sans que les
caracteres choisis jouent la aucun role semantique; Kin-tchang fou
n'existe pas dans la geographie chinoise. Quant a l'origine de la forme
persane, il est possible, mais non par sur, que ce soit King-tchao fou. La
forme 'Quen-zan-fou,' qu'un ecolier chinois du Chen Si fournit a M. von
Richthofen comme le nom de Si-ngan fou au temps des Yuan, doit avoir ete
fautivement recueillie. Il me parait impossible qu'un Chinois d'une
province quelconque prononce zan le caractere [Chinese] tchao."
XLI., p. 29 n. A clause in the edict also orders the foreign bonzes of Ta
T'sin and Mubupa (Christian and Mobed or Magian) to return to
secular life.
Mubupa has no doubt been derived by the etymology mobed, but it is
faulty; it should be Muhupa. (PELLIOT, Bul. Ecole franc. Ext. Orient,
IV., July-Sept., 1904, p. 771.) Pelliot writes to me that there is now no
doubt that it is derived from mu-lu hien and that it must be understood
as the "[religion of] the Celestial God of the Magi."
XLIII., p. 32.