In Marttand is built upon a natural platform at the foot
of some of the noblest mountains, and beneath its ken lies what is
undoubtedly the finest and the most PRONONCE valley in the known world.
We are not looking upon the monuments of the dead. We step not aside
to inspect a tomb, or pause to be saddened by an elegy. The noble
pile in the foreground is rather an emblem of age than of mortality;
and the interest with which we perambulate its ruins is not the
less pleasurable because we do not know much that is certain of its
antiquity, its founders, or its original use.
CHAPTER B
The Mystic Sentence of Thibet.
Explication et origine de la formule bouddhique: - "Om mani padme
houm" Par M. Klaproth. "Nouveau Journal Asiatique."
Les Tubetains et les Mongols ont perpetuellement cette priere dans
la bouche. Les mots de cette inscription sont Sanscrits, et donnent
un sens complet dans cette langue. En voici la transcription en
devanagri: -
o.m ma.ni padme hu.m
"Om" est, chez les Hindous, le nom mystique de la divinite, par lequel
toutes les prieres commencent. Cette particule mystique equivaut
a l'interjection, OH! prononcee avec emphase et avec une entiere
conviction religieuse. Mani signifie LE JOYAU; Padma LE LOTUS. Enfin
Houm est une particule qui equivaut a notre "AMEN." Le sens de la
phrase est tres clair; "Om mani padme houm" signifie "OH! LE JOYAU
DANS LE LOTUS, AMEN." Malgre ce sens indubitable, les Bouddhistes
du Tubet se sont evertues a chercher un sens mystique a chacune des
six syllabes qui composent cette phrase. Ils ont rempli des livres
entiers de ces explications imaginaires.
Cette formule est particuliere aux Bouddhistes du Tubet.
Selon l'histoire de ce pays la formule Om mani padme houm, y a ete
apportee de l'Inde vers la moitie du 7e siecle de notre ere.
La legende suivante traduite du Mongol contient des details sur la
conversion du Tubet par le dieu Padma pani,[41] et sur l'origine
des six syllabes sacrees, Om mani padme houm. Ce dieu est appele en
Sanscrit "Avalokites' vara" ou "le maitre qui contemple avec amour;"
ce que les Tubetains ont rendu par "le tout-voyant aux mille mains
et aux mille yeux:" Les Chinois on traduit le nom par "celui qui
contemple les sous du inonde."
"Autrefois, quand le 'GLORIEUX-ACCOMPLI' (Sakya mouni ou Buddh)
sejournait dans la foret 'd'Odma,' il advint un jour, qu'etant
entoure de ses nombreux disciples un rayon de lumiere de cinq couleurs
sortit tout-a-coup entre ses deux sourcils, forma un arc-en-ciel, et
se dirigea du cote de l'Empire septentrional de neige (Thibet). Les
regards du Bouddha suivaient ce rayon, et sa figure montra un sourire
de joie inexprimable. Un de ses disciples lui demanda de lui en
expliquer la raison, et sur sa priere le glorieux-accompli lui dit: