- Abbe Ferland's Notes,
p 92.
[173] History of the Hotel-Dieu, Mere Juchereau.
[174] Abbe Faillon's Histoire de la Colonie Francaise en Canada, vol.
ii., p. 28.
[175] The hotel was later kept by one Pierre Letarte.
[176] Faillon cautions students to be careful not to confound the name of
the parish of Ste. Foye with the name "Sainte Foix" which M. Puiseaux had
given to his manor, higher up than Quebec on the shore of the St.
Lawrence. - Ibid, vol. iii, p. 319.
[177] "Jacques Brassier, Jean Tavernier, Nicholas Josselin, Etienne Robin
dit Desforges, Rene Douspin Jean LeComte, and Francois Crusson dit Pelate,
belonged to those immortal seventeen heroes who, led on by their brave and
youthful commander, Adam Dollard Desormeaux, shed their blood so nobly for
the salvation of the nascent colony at Montreal at the Longue Sault, on
21st May, 1660." - (See Faillon, vol. ii., p 416.)
[178] Manuscript owned by G. B. Faribault, Esq.
[179] Histoire de la Colonie Francaise en Canada, Faillon, vol. iii., p.
222.
[180] The insecurity produced in the colony at this period by the
incessant inroads of the Five Nations was such that several colonists were
on the eve of, and some did, return to France.
"Les familles francaises eparses sur les bords du St. Laurent, se
trouvaient exposees a des dangers continuels. Pendant le jour, les hommes
etaient attaques au coin des champs, a l'oree d'un bois, sur les eaux du
grand-fleuve. Pour tomber tout-a-coup sur leurs victimes, les maraudeurs
iroquois se tenaient caches tantot derriere un arbre renverse, tantot dans
un marais, ou au milieu des joncs du rivage pendant la nuit, ils rodaient
autour des maisons, cherchant a surprendre quelques familles sans
defense." - (Ferland, Histoire du Canada: Vol. I., p. 398.)
Hence the French houses in each settlement were generally close to one
another for mutual protection; the church in the centre to sound the
tocsin of alarm.
[181] Relations des Jesuites, 1652, p. 7.
[182] Histoire du Canada - Ferland. Vol. I, page 109.
[183] "Monsieur de Courcelles, qui en fut le chef (de l'expedition), y
apporta toute la diligence possible, de sorte qu'il se trouva pret a
partir le 9 Janvier, 1666, accompagne de M. duGas, qu'il prit pour son
lieutenant, de M. de Salampar, gentilhomme volontaire, du Pere Pierre
Raffeix, Jesuite, de 300 hommes du Regiment Carignan Salieres et de 200
volontaires, habitants des colonies francaises, chacun ayant aux pieds des
raquettes, dont ils n'etaient pas accoutumes de se servir et tous sans en
excepter les chefs et M. de Courcelles meme etant charges chacun de 25 ou
30 livres de biscuit etc. A peine pourrait on trouver dans toutes les
histoires une marche plus difficile et plus longue, que le fut celle de
cette petite armee, et il fallut un courage francais et la constance de M.
de Courcelles pour l'entreprendre * * * il fallait faire trois cent lieues
sur les neiges, traverser continuellement sur la glace des lacs et des
rivieres en danger de faire autant de chutes que de pas, ne coucher que
sur la neige au milieu des forets, et souffrir un froid qui passe de
beaucoup la rigueur des plus rudes hivers de l'Europe.
"Cependant nos troupes estant allees le premier jour a Sillery, pour
recommander le succes de leur entreprise a l'Archange Saint Michel, Patron
de ce lieu la, plusieurs eurent des le troisieme jour, le nez, les
oreilles, les genoux et les doigts, ou d'autres parties du corps gelees et
le reste du corps couvert de cicatrices." - Relations des Jesuites,
1666, page 6.
[184] This crack regiment had covered itself with glory at the battle of
St. Gothard in 1664, when 80,000 Turks had been cut to pieces by the army
of Count Coligny. - (Histoire de la Mere de l'Incarnation, Casgrain,
p. 425-6.)
[185] "Le vingt-cinq Janvier," says Ferland, "ils etaient sur les glaces a
l'entree du lac Saint Pierre. Le froid etait plus vif, que les jours
precedents; des glacons accumules barraient presque la route qu'ils
suivaient. Les volontaires accoutumes de longue main a rencontrer ces
difficultes savaient les surmonter; ils etaient vetus a la maniere du
pays, et portaient habits, bonnets et chaussures de peaux de betes; aussi
ils pouvaient sans danger braver le froid. Il n'en etait pas ainsi des
soldats francais, encore peu habitues a la severite du climat, et qui
n'etaient pas pourvus de couvertures suffisantes. L'on fut contraint de
reporter aux Trois Rivieres plusieurs d'entre eux dont les uns s'etaient
blesses sur les glaces, et les autres avaient les mains, les bras et les
pieds geles." - (Cours d'Histoire du Canada, vol. ii, p. 467.)
[186] Baron Vincent Saint Castin, was from Oleron, in Bearn. Originally a
Colonel in the King's Guards, he came to Canada in 1665, a Captain in the
Carignan Regiment. He was, in 1680-1, in command of Fort Penobscot in
Maine. He married Matilda, the daughter of Madockawando, Sachem of the
Penobscots, by which tribe he was adopted and elevated to the rank of
Chief. He played a conspicuous part in the wars of that day, signed
treaties with the Governors of New England. Having amassed a property of
300,000 crowns, he retired eventually to France, where he had an estate.
He was succeeded by his son in the Government of Penobscot. His daughters
married advantageously in the colony. We find one of them, Mademoiselle
Brigitte de Saint Castin, amongst the pupils of the Ursuline Nuns at
Quebec, about the beginning of the last century. - "Les Gouverneurs
Generaux du Canada le menagent et ceux de la Nouvelle Angleterre le
craignent," says La Hontan.